7 septembre 2012
- Nous profitons des derniers moments à Lusaka, avant de partir à l’aéroport vers 16h15 : préparation des vélos (démontage, rangements, mise en cartons).
- Attente du vol jusqu’au lendemain 5h : diner + dodo sur place ! Très peu de sommeil pour Berga, Jéjé lui dort dans problème, comme d’habitude …
- Nous arrivons à Toulouse vers 23h après un passage par Londres. Remontage des vélos et sacoches, direction la maison de Saint Simon ... à vélo pour les derniers tours de roue !
6 septembre 2012
- Le retour vers Lusaka est bien plus rapide qu’à l’aller (6h30), le paysage est un peu triste au goût de Berga, de longues lignes droites, peu de verdure, beaucoup de zones brûlées, et pour finir une région très bovine
- A l’arrivée à Lusaka, il faut vérifier que les cartons à vélos sont toujours à l’aéroport pour un embarquement demain. Pas possible de joindre notre contact par téléphonique, Jéjé fait les 45 km d’A/R en fin d’après-midi. Résultat : tout est ok et Jéjé est accueilli comme une vraie star à l’aéroport !
- De façon générale, on est reconnu un peu partout désormais ! Les gens se souviennent nous avoir vus et parlent de nous en disant « c’est les blancs à vélo » (gares routières, aéroport, bacpackers …).
5 septembre 2012
- Les chutes du Victoria, point où le Zambèze se déverse dans une faille de 100 mètres de profond, constituent notre destination finale. Pas d’adjectif ce coup-ci, les photos se suffisent à elles mêmes.
- Par contre saison basse côté débit du fleuve, du coup les chutes ne sont pas aussi fournies qu’elles le seront dans quelques mois. Nous restons du coup côté Zambien, même si le Zimbabwe offre un autre point de vue.
- Le chemin qui longe les chutes offre des vues sur les 2/3 des chutes, c’est une belle balade au travers de la forêt, par-dessus les ponts et escaliers et au milieu des singes.
- Un nombre incroyable d’activités est proposé aux touristes à des prix tout aussi incroyables : hélicoptère, rafting, saut à l’élastique …
- A notre retour en ville, nous rencontrons Julian, un lillois qui a traversé l’Afrique à vélo (http//juliancyclo.tumblr.com). Puis deux francais, Célia et Micka, en pleine découverte du monde, chargés comme des mules avant d’attaquer le Népal dans quelques jours !
4 septembre 2012
- L’attente à la gare routière pour prendre un bus pour Livingstone et les chutes du Victoria est longue : beaucoup de monde, de sollicitations par des vendeurs ou des voleurs, de stress pour Berga dans une ambiance pas super « sûre ».
- On traverse le sud de la Zambie pendant 8 heures, paysage beaucoup plus aride et sec, à la limite entre la savane et le désert.
- Livingstone est le coin touristique par excellence du sud de l’Afrique : cela se ressent dans la qualité de vie des habitants, les commerces « pour blancs » et les autres commodités que l’on ne trouve nulle part ailleurs.
- On est hébergé dans un backpackers avec une belle herbe verte, une piscine et un bar/boite de nuit bien bruyant.
- Ce soir c’est pizza, dans un resto italien « réputé », bon mais un peu cher … comme tout ici.
2 septembre 2012
- Un bus nous transporte jusqu’à Lusaka en presque 10 heures de temps : la seule activité aurait pu être la négociation du tarif pour le transport de nos vélos, mais Jéjé était trop fatigué par les négos de la journée précédente. Du coup on paye presque aussi cher pour les vélos que pour nous.
- Dans les passagers du bus, une fille d’environ 15 ans avec un gosse de 2 ans et un nourrisson oublie de nettoyer son bébé… les mamas autour d'elle la tancent vertement et l’obligent à faire son devoir de mère. Pendant ce temps-là, sur un siège voisin, une dame se vomit dessus … Miam.
- Au backpackers de Lusaka, on renégocie facilement le fait de pouvoir camper. Puis on attaque la soirée en échangeant avec deux autrichiens qui essayent d’aller au Congo … le visa leur sera refusé le lendemain. On retrouve notre français de Chipata, toujours aussi amnésique. Et puis le gars du Burundi est là aussi. Le monde des touristes est petit, complété ce soir là par celui des expatriés qui viennent regarder un match de rugby du Super Twelve.
- On choisit un resto assez classe pour le dîner : la viande de Jéjé sera « mortelle », le poisson de Berga beaucoup plus « moyen ».
- Le jour suivant sera consacré à l’achat de cadeaux souvenirs, un déjeuner maison grandiose, une sieste monstrueuse et un happy hour du feu de dieu :o)
1er septembre 2012
- Nos vélos ont vécu une dure journée de transport en bus pour rejoindre la frontière du Malawi et de la Zambie : tout d’abord sous le bus coincés au niveau de la roue de secours, puis compressés à l’arrière d’un minibus tout aussi bondé, et enfin martyrisés dans le coffre d’un taxi sur une piste chaotique.
- Pour nous aussi, la journée a été rude en négociation, notamment à cause des vélos sur lesquels est appliquée une « surtaxe » souvent démesurée … mais aussi à cause du caractère filou de certains chauffeurs qui n’hésitent pas à changer leurs tarifs en cours de route.
- Les arrêts nourriture sont souvent courts et pas très nutritifs : on arrive à la frontière presque affamés. Mais pas le temps d’ergoter : la nuit tombe, 23 kilomètres nous séparent de Chipata à vélo. Une crevaison de Jéjé pour terminer la journée dans l’obscurité.
- Diner et hébergement au camping de Dean, notre coup de cœur zambien (3 nuits) !
31 août 2012
- Vélo : 4h00 pour 53 km
- Conditions : un peu plus vallonné, chaud dès 7h42, vent dans le dos, ça avance bien
- Mots du jour de Jéjé : « les gens sont sympas aujourd’hui » …
- Zomba : ville coloniale, avec un air frais qui descend de la montagne. On s’y ballade, on achète quelques cadeaux souvenir après âpre négociation de Jéjé.
- Hébergement : on se fait plaisir avec notre première executive room ... à 5 euros!
30 août 2012
- Nous partons le matin en bateau pour explorer les canaux du Liwonde National Park, avec 2 allemands rencontrés le jour plus tôt. Un guide, le capitaine et un chasseur de mouches tsé-sté (avec tapette à mouches) complètent l’équipage.
- Les hippopotames surgissent de l’eau à n’importe quel moment en crachant un filet d’air, on va finir par se retrouver sur le dos de l’un d’eux. On ne compte plus les éléphants et l’impressionnante diversité d’oiseaux. Et même les crocodiles, qu’après une bière avalée à 10h du mat, nous approchons à moins de 20 mètres par le rivage.
- Les pêcheurs essaient de travailler au milieu des crocos et autres, hippos, et tentent de faire fuir les éléphants qui ravagent leurs filets en traversant les cours d’eau.
- Nous sommes à court de tunes, pas de possibilité de se servir de la carte visa ou de changer ici : le dîner sera composé d’un plat de pâtes.
29 août 2012
- Vélo : 5h50 pour 86 km
- Le bruit d’un hippopotame nous réveille : nous fouillons l’obscurité des yeux mais nous le voyons pas! Départ avant 6h du matin.
- La région regorge de petits artisans qui exposent leurs créations en bord de piste : meubles et accessoires en osier, découpage de lamelles de pneu qui servent ensuite comme sangle, attache, ...
- Dans les discussions du jour, deux policiers sont très intéressés par notre périple. Sinon toujours autant d’enfants hystériques à notre passage.
- Nous déjeunons dans un restaurant halal, QG des musulmans d’affaires du coin
- Nous dormons une case faite de roseaux, à proximité du fleuve : le luxe au vu de la terre battue du terrain de camping voisin.
28 août 2012
- Vélo : 7h00 pour 96 km
- Malgré notre départ très matinal, beaucoup de femmes sont déjà dehors et travaillent la terre pour éviter les « heures chaudes » de l’après-midi.
- Nous rencontrons durant notre périple à vélo Franck, un jeune étudiant futur professeur, qui nous explique ce que signifie « Mzungu » : il s’agit d’une façon commune d’appeler les « blancs ». Enigme résolue. Entre autres, « bonjour » se dit « wawa ».
- Nous trouvons un nouveau camping en bord de lac ; il est totalement vide d’occupants, ce qui n’empêchent pas les gérants de nous faire bon accueil.
- Nous profitons du soleil déclinant pour prendre l’apéritif en terrasse, avec quelques fraises et framboises apportées par un fermier local. Face à nous des dizaines de pêcheurs tirent un grand filet de longues heures durant pour ramener un trésor aquatique qui nourrira le village voisin.
- Le dîner se déroule dans un beau décor recherché : buffet à volonté (ou presque), spaghetti bolognaise ou végératiennes ( avec des haricots rouges en sauce), salade verte, tomate et oignons, et enfin des gâteaux aux bananes et des fraises fraîches. Un régal.
26 août 2012
- Vélo : 3h40 pour 44 km
- Le gardien avait jalousement surveillé et même nettoyé nos vélos : nous partons sans petit déjeuner, avec un seul snickers en poche.
- Sur la piste, nous affrontons les pentes d’un petit col, court mais très raide avec 1 km à 18% de moyenne !!! Pour la 1ère fois, et avec des larmes de rage aux yeux, Berga pousse le vélo
- Nous sommes récompensés en arrivant dans un camping très agréable en bord de lac.
- Au programme du reste de la journée et de celle qui vient : trouver des bières autres que la Carlsberg Green qui nous sort un peu du nez, goûter toutes les sortes de poisson qui fourmillent dans le lac, se baigner, glandouiller sur la plage, jouer aux jeux locals tels le Boa.
25 août 2012
- Au lever du soleil sur le lac, nous assistons au retour des pêcheurs qui ont travaillé toute la nuit avec leurs lampes à huile, et exposent le résultat de leur pêche sur de grandes toiles afin de la faire sécher au soleil.
- Vélo : 9h10 pour 129 km
- En chemin, nous déjeunons dans un petit village, avec des beignets, des tomates et des frites.
- Les petits villages traversés ne proposent pas forcément d’endroits pour dormir. Le soleil descend doucement, le bitume fait place à la piste, mais le nombre d’enfants qui crient « mzungu » ou « give me » ne descend pas.
- Nous avons allègrement dépassé les 100km, la nuit est tombée, et nous nous apprêtons à demander l’hospitalité près d’une case africaine lorsqu’un jeune étudiant nous guide vers une guesthouse, un petit hôtel du village de pêcheurs voisin.
- Nous trouvons 3 boulettes de n’shima pour dîner, avant de rentrer dans nos pénates. L’hôtel, insalubre, abrite toute sorte de filles légèrement vêtues et de garçons de passage avec un air alcoolisé. Avec la boîte de nuit qui jouxte l’établissement nous passons une très courte nuit …
24 août 2012
- Nous démarrons tôt à vélo pour la frontière. Le passage se fait sans problème, hormis quelques changeurs de monnaie qui ne nous lâchent pas. Après 37km de route, nous rangeons notre vélo dans un mini-bus : nous avons décidé de rejoindre le lac Malawi ce soir et donc « d’accélérer » le rythme.
- Le premier mini bus nous mène de Mchinji à la capitale Lilongwe : malgré la prière avant le départ du bus, nous n’aurons pas d’autres « frayeurs » que deux contrôles routiers.
- A l’arrivée à Lilongwe, en plein cœur de la gare routière, les rabatteurs de bus nous « tombent » dessus. Nous finissons par embarquer dans un gros bus surchargé jusqu’à Salima: Jéjé fixe les vélos sur le toit, Berga pousse quelques mamas africaines pour pouvoir se plaquer contre le pare-brise avant du bus. Deux nouveaux contrôles routiers, le trajet est tout en lenteur …
- Arrivés à Salima, les 200km en bus nous ont épuisé : nous reprenons les vélos pour les 20 km jusqu’au bord du lac et la petite bourgade de Senga Bay.
- Nous dégottons un joli petit camping en front de lac, avec une pelouse très verte et dense… Le dîner sera composé d’un délicieux poisson tigre et poulet curry.
23 août 2012
- Nous revenons sur Mfuwe, ramenés par un couple de trentenaires sud-africains qui parcourent en 4*4 l’Afrique des Grands Parcs.
- Le retour à Chipata est finalement vite négocié : un homme qui fait des A/R réguliers pour amener des volontaires au Parc nous embarque pour Chipata.
- Nous préparons notre passage au Malawi, et discutons devant la bière du soir avec un gars du Burundi voyageant en moto et cherchant du travail en Zambie.
22 août 2012
- Nous démarrons à 6h du matin pour un safari à pied, entouré d’un guide et un ranger armé.
- Très tôt nous croisons beaucoup d’animaux, dont certains à quelques mètres de nous : éléphants, antilopes et antilopes angora, zèbres, phacochères, hippopotames, oiseaux, et même un troupeau de quelques centaines de buffles.
- Le guide nous donne beaucoup d’explications sur la faune et la flore environnantes
- Après le déjeuner et un tour à la piscine du camp, où nous assistons à la chasse d’une grenouille par un serpent, nous partons en fin d’après-midi pour un safari en jeep.
- Les rencontres se répètent, quelques nouveautés tout de même : une girafe que nous manquons écraser au détour d’un chemin, un léopard tapi sur le sol, traquant des antilopes, et des hyènes prêtes à nettoyer la place une fois les méfaits commis.
- De retour à la nuit, nous rejoignons notre tente, et même là la vie sauvage ne nous laisse pas de répit : à peine quelques heures de sommeil et nous sommes réveillés par un éléphant et un hippopotame qui cherchent un peu de végétation tendre à moins de 10 mètres de notre tente …
21 août 2012
- On a finalement peu à attendre sur le bord de route menant au South Luangwa National Park. Un mini bus s’arrête, et nous négocions un tarif acceptable pour les 3 heures de chemin chaotique qui nous conduisent à Mfuwe.
- Après un déjeuner sur le pouce et quelques courses sur le marché local, nous faisons un peu de stop pour rejoindre un camp en bord du fleuve Luangwa. Une heure passe, nous avons peu avancé, un hippopotame nous regarde vautré dans sa mare, et les gens qui passent s’arrêtent régulièrement pour nous dire que le coin est rempli d’animaux sauvages et donc pas propice à de la marche à pied. Le propriétaire du camp finit par venir nous récupérer, et effectivement nous croisons plusieurs troupeaux d’éléphants dans les parages.
- Le camping est sur un site superbe : en contrebas le fleuve, les hippos et les éléphants qui viennent s’y abreuver, des antilopes, des singes et des oiseaux partout. Le coucher de soleil est un rêve africain.
20 août 2012
- Vélo : 7h40 pour 86 km
- Berga a un coup de mou le matin, mais après un grignotage en bord de route, cela repart !
- On se fait doubler (!) par un convoi exceptionnel du gouvernement avec beaucoup de voitures de police
- On arrive à Chipata, une ville très étalée et peuplée. Jéjé craque pour un pot de beurre de cacahuètes dans un supermarché
- Hébergement : le lodge est tenu par un anglais, Dean, ancien fermier, puis responsable d’une boite de nuit de Chipata, qui ne compte plus le nombre d’employés qu’il a perdu, tous morts du sida. On rencontre un français de Clermont Ferrand, très bavard et peu à l’écoute
- Malgré la coupure d’électricité sur l’ensemble de la ville, le dîner est bon et copieux : tarte au poulet, frites et carottes
19 août 2012
- Vélo : 7h50 pour 93 km
- Conditions : temps couvert, vent modéré, quelques gouttes durant l’après-midi !
- Déjeuner dans un restaurant local, devant la télé et sous les yeux ébahis d’une petite fille qui ne décroche plus de nous
- On échange avec un vieux à vélo, et on arrive en ville pour faire les courses (dont corn flakes)
- Hébergement du soir : vu qu’il y a plus night clubs que de chiens errants dans le centre ville, on choisit de s’écarter de quelques kilomètres pour rejoindre une communauté à but humanitaire, Tikondane. On rencontre une blanche qui vit là. Elle nous propose d'assister à la cérémonie annuelle de la communauté qui a lieu dans 7 jours … Dommage, si l'invitation est tentante, nous manquons un peu de temps, nous continuerons donc à tailler la route !
18 août 2012
- Vélo : 6h20 pour 67 km
- Conditions : vent fort, pointe à 60km/h de 3/4 face, temps plutôt couvert, toujours moins de végétation
- Au milieu les premiers champs de coton et des petits magasins artisanat du bois (lit, porte, étagère, …), les « how are you ? » descendent des cases africaines par centaines
- Hébergement : logde luxueux (salle de bain, tv, deux petits lits) à un prix bradé grâce à la négociation de Jéjé !
17 août 2012
- Vélo : 8h10 pour 105 km
- Conditions : moins de végétation, plus sec, encore plus de vent, toujours de face
- Sur le bord de la route : enfin des femmes locales sur des vélos ! Beaucoup de « How are you ?» de la part des enfants en bord de route. Et des singes qui nous regardent lors de nos pauses, on se demande ce qu'ils veulent nous piquer
- Déjeuner : après la visite d’un marché et des achats de légumes, préparation d’un plat de pâtes à l’ombre d’un arbre sous les yeux des locaux
- Hébergement : dans un lodge, on échange avec la patronne (une jeune fille de 22ans) qui a « hérité » de l’hôtel, passe son temps à jouer au billard et regarder la télé. Tu t’ennuies un peu sinon ?
- Petit bobo pour Berga à la nuque et à l’épaule : ça tire !
16 août 2012
- Vélo : 6h20 pour 85 km
- Conditions : très grosse chaleur dès 8h30, beaucoup de dénivelé ensuite
- Berga a pensé avoir vu notre premier champs de beuh … mais après réflexion, elle a des doutes !
- Déjeuner : dégustation d’une omelette – tomates – oignons avec n’shima à 11h du matin
- Rencontre d’une fille cycliste néozélandaise, cela sera notre seul vélocypède croisé lors de ce voyage
- Hébergement : camping au bord du fleuve, piscine, canapés et détente garantis avec vue sur le Luangwa. Tout autour, des singes. On s’offre un luxe avec un dîner à 90000 kwatchas (15 euros) par personne
15 août 2012
- Vélo : démarrage à 7h15, 5h40 pour 72 km
- Conditions : montées sèches et raides, plein soleil, moins de vent, grosse chaleur dès 10h30
- Déjeuner à la gare routière de Rufunsa : 1ère patate ou topinambour négocié aux vendeuses des bus. On l’accompagne de poulet et de bananes
- On discute avec quelques locaux dans les épiceries
- Hébergement : on trouve un petit lodge en cours de construction géré par une mama. On échange avec d’autres hôtes, dont de jeunes fonctionnaires qui viennent ici pour structurer la production de maïs. C’est notre première nuit dans un lit !
14 août 2012
- Vélo : 6h30 pour 84 km
- Conditions : début plutôt plat, vent de face, un peu couvert
- Déjeuner : premier n’shima, avec du poulet et des légumes
- On choisit de continuer après Chongwe, soit au moins 40 km de plus … du moins si on fait la moyenne entre les 4 distances différentes que 4 personnes nous donnent jusqu’à la prochaine ville !
- Hébergement : on recherche d’un endroit pour dormir, on nous conseille le commissariat ! Du coup les 4 enfants du lieutenant de police ont partagé la soirée avec nous
13 août 2012
- A l’aéroport de Lusaka, on négocie avec une « compagnie aérienne » de nous stocker les cartons à vélo à l’aéroport
- On entre dans la ville par le périf, avec des doubles voies où les mini-bus et les 4*4 nous doublent à 100 km/h ! On ne va pas aussi vite, du coup les deux radars mobiles ne nous arrêtent pas
- Hébergement : on choisit un backpackers du centre ville qui n’offre à priori que des logements en dur, et on insiste pour monter la tente ... ce qu'on finit par faire sur un coin d’herbe
- En soirée, on fait un A/R au supermarché Shoprite pour les courses : le vigile nous propose gentiment de garder nos vélos, qui font pas mal d’envieux ici
12 août 2012
- On passe la journée à Londres pour la clôture des JO. Au programme : Big Ben, le club France et les 3 passages du Marathon en encourageant les coureurs les plus en difficulté par leur prénom
